Détection du pédalage

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       La détection du pédalage est le système le plus répandu, le plus simple et le moins onéreux (autour de 12 €).

       

       Un disque fixé au pédalier comporte des aimants. Il  donne une image de la rotation des pédales, donc de l’activité du cycliste : imposé par la norme.

       

       Un capteur à effet hall, fixé sur le cadre détecte la rotation (vitesse et sens).  Le contrôleur électronique alimente le moteur en fonction de l’activité observée par le capteur de pédalage.



       En règle générale plus l’activité du cycliste est importante, plus l’assistance sera importante, donc l’aide du moteur sera forte.


       Au démarrage, ou en cote, cela peut être plus difficile, mais le bon choix du rapport (pignon/plateau) aide à obtenir une assistance plus rapidement.


       Ce système s'adapte à pratiquement tous les vélos, il est fiable et bon marché, c’est pourquoi on le retrouve dans les "kits V.A.E".


       Le choix de la détection de pédalage à une incidence sur le confort du cycliste dans l’assistance, mais aussi sur l’autonomie. En effet, si l’assistance au pédalage se fait dans des conditions où le moteur tourne à faible vitesse pour un couple important, la consommation est importante et le rendement très médiocre.


Autre principe utilisé : Détection du couple de pédalage

       

       Ce sont les plus sophistiqués : ils détectent l’effort fournit par le cycliste et fournissent un couple moteur proportionnel à l’effort produit.


       Plus l’effort du cycliste est important, plus le contrôleur restitue de l’énergie afin d’aider le cycliste. Par exemple au démarrage ou en cote, l’assistance sera maximale.


       Si le principe reste simple, c’est techniquement difficile à mettre en œuvre, notamment à cause des moyens de détection utilisés : ils sont donc beaucoup plus chers, mais beaucoup plus agréable à utiliser.



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